Hello mes petits clous !
Aujourd’hui, je ne vais pas vous parler de l’élection présidentielle. Si, par le plus grand des hasards, vos esgourdes submergées par les banales insanités dégueulées par vos appareils télévisuels n’ont pas encore crié grâce, si vos doigts parkinsoniens engourdis par les longues veillées sans sommeil devant vos écrans LCD 16 millions de couleurs possèdent encore des velléités de cliquer sur les absurdes truismes d’encéphalopathiques remâcheurs d’analepses idées, passez votre chemin, ici point de cela.
Ces dernières semaines, la faute aux jours de congés qu’il faut bien solder avant fin mai, sinon on les perd, et ça c’est ballot, je n’ai fait que quelques apparitions furtives sur ce blog entre une semaine au ski et une semaine à Djerba, j’aime les extrêmes. Et le soleil. (Ma peau, moins, mais c’est une autre histoire).
Ce qui est bien dans les vacances, c’est l’option club enfant. A ceux qui m’opposerait que je joue trop la carte « mère indigne » pour que ce soit totalement crédible, je rétorquerais que oui, je sais que j’aurais été une très mauvaise assistante maternelle, et que je ne fait pas ce constat de gaité de cœur mais que parfois il faut affronter la réalité en face.
Tiens les enfants. Eux aussi ils ont adoré les vacances. Surtout, dans l’ordre, les crêpes, le billard et le bonbon à l’atterrissage. Et l’expression : lâcher une caisse.
Bizarrement, celle-là, petit schtroumpf l’a parfaitement assimilée, contrairement à d’autres qu’il possède encore approximativement. Ainsi, il y a régulièrement des robots noirs qui volent dans notre jardin, j’ai besoin d’un poussin pour dormir, les schtroumpfs peuvent manger des pauvres corn devant le film, quand ils sont sages, et maintenant qu’il a pris l’avion, petit schtroumpf aimerait passer à l’étape suivante et faire du parapute. Je lui ai dit qu’il avait bien le temps et qu’en plus, s’envoyer en l’air de cette manière, ça coutait cher.
En tout cas, j’ai pratiquement épuisé mon stock de jours de vacances, je n’ai donc plus aucune excuse pour ne pas reprendre une activité régulière par ici. C’est écrit, cochon qui s’en dédit. Croix de bois, croix de fer.
A bientôt donc, pour de nouvelles aventures...
Ciao les petits clous !
Aujourd’hui, je ne vais pas vous parler de l’élection présidentielle. Si, par le plus grand des hasards, vos esgourdes submergées par les banales insanités dégueulées par vos appareils télévisuels n’ont pas encore crié grâce, si vos doigts parkinsoniens engourdis par les longues veillées sans sommeil devant vos écrans LCD 16 millions de couleurs possèdent encore des velléités de cliquer sur les absurdes truismes d’encéphalopathiques remâcheurs d’analepses idées, passez votre chemin, ici point de cela.
Ces dernières semaines, la faute aux jours de congés qu’il faut bien solder avant fin mai, sinon on les perd, et ça c’est ballot, je n’ai fait que quelques apparitions furtives sur ce blog entre une semaine au ski et une semaine à Djerba, j’aime les extrêmes. Et le soleil. (Ma peau, moins, mais c’est une autre histoire).
Ce qui est bien dans les vacances, c’est l’option club enfant. A ceux qui m’opposerait que je joue trop la carte « mère indigne » pour que ce soit totalement crédible, je rétorquerais que oui, je sais que j’aurais été une très mauvaise assistante maternelle, et que je ne fait pas ce constat de gaité de cœur mais que parfois il faut affronter la réalité en face.
Tiens les enfants. Eux aussi ils ont adoré les vacances. Surtout, dans l’ordre, les crêpes, le billard et le bonbon à l’atterrissage. Et l’expression : lâcher une caisse.
Bizarrement, celle-là, petit schtroumpf l’a parfaitement assimilée, contrairement à d’autres qu’il possède encore approximativement. Ainsi, il y a régulièrement des robots noirs qui volent dans notre jardin, j’ai besoin d’un poussin pour dormir, les schtroumpfs peuvent manger des pauvres corn devant le film, quand ils sont sages, et maintenant qu’il a pris l’avion, petit schtroumpf aimerait passer à l’étape suivante et faire du parapute. Je lui ai dit qu’il avait bien le temps et qu’en plus, s’envoyer en l’air de cette manière, ça coutait cher.
En tout cas, j’ai pratiquement épuisé mon stock de jours de vacances, je n’ai donc plus aucune excuse pour ne pas reprendre une activité régulière par ici. C’est écrit, cochon qui s’en dédit. Croix de bois, croix de fer.
A bientôt donc, pour de nouvelles aventures...
Ciao les petits clous !